Nous ne pouvons pas nous permettre d’attendre qu’un spécialiste des sciences de l’éducation, une ministre de l’éducation, une maison d’édition scolaire ou un géant de l’Internet ait mis au point la recette miracle qu’il suffirait ensuite de diffuser à tous. Le rythme, la dynamique et la pression du changement sont aujourd’hui bien plus importants qu’à l’époque de Gutenberg.
Pour cela, nous devons faire le lien entre les questions de la transformation numérique et les questions fondamentales de la transformation de l’éducation. Il est nécessaire de parvenir à un accord quant aux objectifs et aux contenus fondamentaux que nous voulons traiter avec les écoles et dans ces dernières. Nous avons besoin d’un cap pour orienter nos pensées et nos actions.